21 septembre 2008

Le sang des autres



J'ai le coeur qui saigne
Je croyais pas que c'était possible
Chaque goutte versée me délite peu à peu
La raison me quitte
Je sombre dans la folie
L'absence de l'autre lacère chaque fibre
Du myocarde
Je me meurs 
Evanescence

2 commentaires:

Anonyme a dit…

même question qu'un peu plus haut : où en es tu de l'abscence ?

L singulière plurielle a dit…

@ Vallis
j'en suis guérie ...